A mon propos

Créer est une attitude ; ma production est le reflet de ma personnalité, le résultat de mes recherches et réflexions. L’art doit être capable d’améliorer le modèle limité aux nécessités quotidiennes ; les artistes doivent donc se détacher du souci d’être rentables et utiles. L’art se doit d’être contestataire voire répréhensible, subversif, corrosif, éprouvant, agressif, allergique à l’approbation des masses ; privé de tels attributs il n’est simplement pas de l’art, mais un ersatz vide, décoratif dans le meilleur des cas.
La philosophie se réserve le privilège de créer le concept, ce qui, en tant qu’artiste conceptuel consiste à initier une forme de « philosophie plastique », libérée de toutes contraintes à la tendance, exprimant et définissant l’art en fonction de lui-même. Mon art est ainsi investi par le concept ; il choisit les apparences expressives du concept de la chose et ma production est la manifestation perceptible de l’idée.


Ce qu’en a dit la critique

En ce qui concerne le formalisme du travail de Patrick Victor DOPPAGNE, l’œuvre globale reste abstraite mais comprend des, ou est faite uniquement de signes devenant symboliques et iconiques. Elle révèle le passage de la simple graphie au symbolique discursif . L’abstrait informel couvre une gestuelle, de la plus “Lyrique” au presque “scriptural”. Le geste de l’ex-pression interne est la marque d’une personnalité affirmée et consiste en une tentative de communication. La matérialité non structurée avec prééminence des couleurs par leur force intrinsèque, leur symbolisme historique et social, laisse aux dites couleurs la plus grande importance. L’investissement corps/esprit du travail de l’artiste est orienté vers l’intellectualité, l’essence, le travail intérieur axé plus vers l’introspectif. Paysages intérieurs, émotions, sensations, sérénité, équilibre, mémoire, vers la recherche d’un équilibre “ressenti”. L’artiste a la volonté délibérée de communiquer à travers ses œuvres en narrations ou symboliques diverses – allégoriques, métaphoriques, analytiques et critiques – et par diverses spiritualités – Francis Parent – Historien et Critique d’art – Paris 2015.


Distinction

incubus

Je suis foncièrement opposé à tout système d’évaluation qui s’autorise à juger ! J’ai ainsi honte d’avouer que ma toile « INCUBUS » a été lauréate du concours « Libr’Art 2011 », catégorie « Huile et Acrylique ».

J’ai beaucoup transhumé, avant de confier ma représentation à des professionnels. J’ai ainsi participé à 23 expositions individuelles et collectives, en Belgique et en France, entre le 24 septembre 2010 et le 3 novembre 2013. Je vous remercie de comprendre que je préfère éviter cette énumération inutile.


Représentation

Je collabore avec la Galerie SAATCHI Art et ARTPRICE

saatchi-art
artprice

Mes débuts en tant qu’auteur

in-arles

« L’Art a l’œuvre » est la partie rédactionnelle de la performance numérique du même nom. Elle sera éditée au début du quatrième trimestre 2020. Inspiré dès l’enfance par le travail de Vincent Van Gogh, je me suis documenté au sujet de la peinture à l’huile, des techniques des peintres impressionnistes en particulier. Mon travail évoluera ensuite vers l’expressionnisme abstrait et les techniques propres à la peinture acrylique, pour résolument m’orienter vers l’art contemporain dans le courant de l’année 2014. « L’Art a l’œuvre » est motivée par la confrontation avec le panel réactionnel rencontré lors de vernissages, expositions et événements promotionnels divers ; par ma nécessité personnelle de situer la production artistique actuelle dans la réalité sociétale. “L’Art a l’œuvre a été conçu par et pour le médium internet. Il est encore l’inducteur d’un happening auquel chacun est invité à prendre part. Sa présentation est programmée pour l’automne 2020. Toute l’information postérieure vous sera incessamment communiquée.

“In Arles” – huile sur toile 50X70 cm


Le terme « art » suggère une vision mentale personnelle : Mona Lisa de da Vinci, le Penseur de Rodin, le livre Notre Dame de Paris de Hugo, la pyramide de Khéops, etc, ce qui témoigne du réflexe humain de nécessairement devoir concrétiser une donnée abstraite, de figurer l’indéfini par le biais d’œuvres, reconnues ou non. L’appréhension objective de l’œuvre d’art est cependant polluée par les préconçus, l’inconscient collectif, la contre-culture émotionnelle, la critique, le marché spéculatif, etc.

« L’Art a l’œuvre » tente donc d’authentifier cette perception. Davantage qu’un livre, il est le support d’une expérience numérique, d’une performance-happening, du partage d’un concept, il est conçu par et pour internet, et est également destiné à incuber la suite de mon projet artistique.

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